#fernsterfreitag
#Thiers
Là où chaque fenêtre semble faire partie d'un immeuble différent !
#fernsterfreitag
#Thiers
Là où chaque fenêtre semble faire partie d'un immeuble différent !
Pique-nique au lac de Saint-Rémy-sur-Durolle ce midi.
Iris a presque réussi à faire le tour du lac en longeant la rive, les pattes dans l'eau. Avec de longs moment d'immobilité extatique (ça doit faire du bien à son arthrose de rester comme ça dans la lolo)
PIQUE-NIQUE
Pique-nique promenade au lac d'Aubusson, à 20 minutes de chez moi en tuture. Un bon petit vent dans une ambiance encore pas trop chaude (les températures grimperont dans l'après-midi). Tee-shirt de rigueur quand même.
Y'avait pas foule, mais des personnes de qualité ! Iris de la Loupette et moi d'abord, ça met la barre haut niveau qualité. Un couple de joggeurs qui se disputaient amoureusement si j'ai bien suivi tout en s'étirant après l'effort Une maman sur la plage, tranquille, et son bout de chou occupé à jouer avec les vaguelettes qui affleuraient sur le rivage. Une autre maman et son ado, portant deux sacs de pique nique thermo-machin, bien contentes d'être là toutes les deux. Une jeune homme et sa canne à pêche arpentant les rives à la recherche d'un spot idéal. Un monsieur et son chien affairé près d'un camping car. Et un couple qui se donnait un peu de plaisir (ai-je deviné de loin) après un déjeuner dans l'herbe.
Bref.. Que de la love !
Mais laissons le stylo à mamzelle Iris qui en parlera bien mieux que moi !
"Salut les Maztos !
Ouaip. Trop bien ! D'abord on a pique-niqué dans l'herbe au bord de l'eau, ce qui est tout de même le meilleur moment de la journée à égalité avec les autres moments. Et puis on est allé se dégourdir les pattes. Le zhumain souhaitait manifestement que nous suivions un chemin bien tracé, mais moi ze suis une chienne queer, et je préfère le hors piste. Donc zé filé dans les marécages et les tourbières, parce que ze suis une chienne de marécage et de tourbières (et de montagne aussi, mais ze ne dédaigne pas les prairies, et les ruelles de cité médiévale aussi). Ça m'a fait rire de voir mon zhumain s'enfoncer les chaussures jusqu'au mollet dans la boue. Avez-vous noté à quel point les zhumains peuvent être vraiment pathétiques et ridicules ? Y'avait pas mal de canards, mais zé pas réussi à en attraper un seul. Ils sont bizarres les canards ici : quand z'approche en utilisant mes techniques de camouflage, ils bougent pas d'une plume, et même quand je me transforme en redoutable prédateur et bondis sur eux, ils se contentent de s'écarter de quelques mètres, pas plus, histoire de se moquer de moi on dirait. Bon, ça va les canards hein ! Si j'avais des ailes et des palmes, vous feriez moins les malins.
Bref, après s'être perdus dans les marécages (enfin : mon zhumain avait l'air perdu, moi, pas du tout), on est allé sur la plage, puis dans la pinède au bord de l'eau. C'était chouette aussi. Je me suis baigné et ensuite on s'est allongé au soleil histoire de sécher et récupérer.
Et maintenant, c'est l'heure de la sieste ! À plus les zhumains !"
Iris complètement déchaînée lors de la promenade du soir. D'abord, elle file tranquillement vers les cabanes aux chats, à cinquante mètres de chez nous, fait ses trucs, cherchent s'il n'y a pas des croquettes qui traînent. D'habitude elle rentre au bout de dix minutes. Mais ce soir, non ! C'est soirée youpi !
Elle descend par la rue du Docteur Lachamp, bifurque par les escaliers de la rue des Forgerons, tourne soudainement à gauche rue de Sidi Brahim, fait une petite pause exploration au petit square, puis remonte par la Rue Gambetta, tout ça en remuant la queue, trop heureuse de me voir galérer derrière elle - surtout que j'ai croisé Créon, qui voulait une clope, alors je lui ai demandé comment allait Antigone ? Qui ça, me demande-t-il, alors je commence à lui raconter, Créon, etc.. mais lui veut surtout une clope et me serrer dans ses bras, ok, mais Iris est en train de filer là maintenant, cours cours ! Va chercher ton chien, tu me raconteras Créon un autre jour !, et nous voilà maintenant dans les escaliers de la Rue de la Faye, Rue de la Coutellerie, et remontant brièvement rue du Palais, bifurquant encore par les escaliers Jean Bruguière, ah mais c'est l'ancien hôpital psychiatrique, assez lugubre ce soir, dans son abandon ruinesque, et maintenant, Rue Chabrot, le long des remparts, Iris fait une pause en mode : je fatigue un petit peu là quand même. Mais on est tout près de la place du Palais et de l'Église Saint Genies, on grimpe un énième petit escalier voûté, magnifique, et voici la place, le palais de justice et l'église, c'est d'un calme, Iris reconnaît le coin et ses rues familières, et file jusqu'à l'appartement par la place du Pirou et la rue Grenette et nous voilà chez nous, place des Martyrs.
Oufffffff.....
Je vous garantis, y'a pas un mètre de plat dans la ville médiévale, on a dû se taper en montée/descente 150 mètres de dénivelé
Là : elle dort à petons fermés. Claquée. (Ils l'ont dopée à la clinique ou quoi ??)
Ça fait longtemps que je ne l'avais pas vue aussi fofolle, en mode, rattrape moi si tu peux (pas besoin de laisse à cette heure-ci dans la ville médiévale : pas d'automobiles et bien peu de passants).
Premier fois que je présente ma fabrication ici. Artisan coutelier français du bassin thiernois. Je présenterais ce qu'il ce passe dans mon atelier!
De bas en haut, 3 "Chiloé" padouk, bois de serpent et ebene et en haut un austral en ivoire de mammouth (pas du mastodonte )
Sable (sand)
Container
Checkpoints
Sucre
Livre
Comptabilité
Drone
(quelques "objets et matériaux" dont la structure fétiche devrait m'occuper l'esprit pendant que j'essaie de rédiger mon "essai")
(et ce matin, réflexions autour la notion de privilège - c'est une commande hein !)
En attendant, on se promène.
Un paysage à peu près hivernal cet après-midi près du Mont Sauvy (853m) à dix minutes en tuture de chez moi.
#ClermontFd
#ClermontFerrand
#Thiers
CONVOI SOLIDAIRE VERS LA GRÈCE
À THIERS (proche de Clermont-Ferrand)
Point collecte durant une soirée seulement : le 26 mars à partir de 20h00 au cinéma Le Monaco, 17 rue Conchette 63300 Thiers.
À l’occasion de la projection-débat du film « Nous n’avons pas peur des ruines, nous portons un monde nouveau dans nos cœurs » en présence du réalisateur franco-grec Yannis Youlountas (lancement du film à 20h30)
Ancien hôtel du Charriol, dit château ou maison du Piroux à #Thiers (#PuyDeDôme) Construction de deux étages en pan de bois portée sur un rez-de-chaussée maçonné ouvert de boutiques, avec partie saillante à l'a...
Suite https://monumentum.fr/monument-historique/pa00092433/thiers-ancien-hotel-du-charriol-dit-chateau-ou-maison-du-piroux
#Patrimoine #MonumentHistorique
Photo CC-BY-SA 4.0 : Lethiernois
Hier soir, le peintre avait sorti les pastels. Il a dû suivre mes conseils : pas trop forcer sur les couleurs quand même.
Sortie pique-nique en vallée des Rouets, en remontant la Durolle depuis Thiers.
Mamzelle Iris de la Loupette un peu en galère aujourd'hui, avec ces pentes escarpées et la chaleur précoce. (son zhumain ne vaut pas beaucoup mieux d'ailleurs : j'étais bien cassé au retour et je comate un peu cet après-midi).
La visite chez le véto hier, que j'appréhendais avec angoisse (à cause des lipomes graisseux qui ont vraiment grossi ces derniers mois), fut assez étrange. Je repoussais cette visite en partie pour des raisons économiques, en partie parce que j'en avais marre d'entendre les vétérinaires me faire des reproches parce qu'Iris est trop "grosse". Le vétérinaire, un monsieur très doux, âgé, qui me reçoit dans un cabinet modeste, qui ne "paie pas de mine", me donne son avis : "Foutez lui la paix. Elle est dodue, pas obèse, et ses lipomes, vous pourriez la faire opérer certes, mais rien ne vous assure qu'ils ne reviendront pas trois semaines après, et la période post-opératoire est pénible. Ce serait mon chien, je laisserais comme ça. J'adapterais mes promenades et voilà."
C'est aussi mon avis, mais ça fait du bien de l'entendre. On va vieillir tranquilles ma belle (et si je veux galoper sur des sentiers ardus, j'irais seul, le matin par exemple). Et choisir des itinéraires de promenade moins rudes.
La vallée des usines, au bord de la Durolle à Thiers.
Je continue de découvrir cette ville fascinante.
Hop hop hop, on répond tous et très nombreux au baromètre de la #FUB à #AUBIÈRE #AULNAT #BLANZAT #BEAUMONT #CLERMONTFERRAND #COURNONDAUVERGNE #CHAMALIÈRES #CEBAZAT #CHÂTEAUGAY #CEYRAT #DURTOL #GERZAT #LECENDRE #LEMPDES #NOHANENT #ORCINES #PONTDUCHÂTEAU #PÉRIGNATLÈSSARLIÈVE #ROYAT #ROMAGNAT #SAINTGENÈSCHAMPANELLE sur la métropole #Clermontoise !
Et on répond aussi au #BaromètreVélo2025 à #RIOM, à #ISSOIRE, à #THIERS, et dans toutes les villes du #PUYDEDÔME !
https://www.barometre-velo.fr/
Au bord de la Dore cet après-midi.
Iris s'adonne tranquillement à sa passion pour la chasse aux canards (et aux hérons et aux ragondins etc..)
Un léger accès de tristesse chez le zhumain. Normal. Faut se réhabituer à la solitude. Se fabriquer un nouveau récit de soi qui tienne la route (et le bonhomme) encore quelques années - si les dieux me prêtent vie.
Faudrait que je me remette doucement au travail. (j'ai quelques patients, mais il ne s'agit pas de ce travail-là).
On continue les explorations de notre nouveau terrain de jeu. À dix minutes en tuture depuis Thiers, par des routes minuscules tout en lacets serrés sur le flanc de la "montagne". C'est pas très élevé en altitude, mais le dénivelé est conséquent tout de même.
Aujourd'hui, direction les ruines de château de Montguerlhe (Lat : 45.84, Long : 3.60 et 827 m d'altitude). Château, faut le dire vite, hein. Une petite forteresse destinée à la surveillance des vallées en contrebas, qu'une modeste garnison occupait sans doute au Moyen Âge. Il ne reste qu'un mur.
Mais bon, la balade était sympa voire épique avec un vent soutenu, deux bonnes heures au rythme "irrégulier" de Mamy Iris de la Loupette. Je faisais attention qu'un arbre ne nous tombe pas sur le paletot quand même. Un vent frais qui plus est. Quelques gouttes éparses. Bref, je me suis un peu caillé, j'ai regretté d'avoir oublié le bonnet et les gants.
Iris va bien dormir cette nuit (et moi aussi !)
Demain, repos (a dit Mamzelle Iris, complètement éclatée en ce moment sur le divan du salon)
Donc on ira sur du plat, au bord de la Dore ! (et je la laisserai chasser les canards au bord de l'eau - pas d'inquiétude à avoir pour lesdits canards cela dit )
(NB : Je m'observe latéralement, l'air de rien, vivant ce changement de vie. Ça se passe bien. Mais j'ai du mal à redémarrer the "thinking machine" - ça vous fait du repos, vous allez me dire, c'est pas plus mal Trop occupé à "habiter" les lieux. Je socialise pas mal aussi - c'est marrant, l'immeuble où je vis est peuplé de célibataires (très sympas) entre deux âges - j'en fais partie évidemment. Il y aurait un couple avec un bébé à l'étage au-dessus, mais je ne les ai pas encore croisés. Bref. Je lis un bouquin sur les "wandering poets" dans l'Antiquité. Tout doucement. Un chapitre par soir (alors qu'habituellement, je l'aurais dévoré en 24 heures). J'ai pris quelques notes au café ce matin, une sorte de plan numéro 1548 pour mon bouquin, une arlésienne je sais, sur la catastrophe climatique ET le capitalisme intime. Mais c'était plus "histoire de" (voir si j'étais encore capable d'aligner deux idées) qu'un travail sérieux. Bon. Ça reviendra. Comme la natation.)
Vraiment je kiffe cette ville (Thiers) et ses alentours (et mon petit appart fort cosy).
Ces ruelles médiévales incroyables : on se perd dans ce dédale ! Les ruines industrielles au bord des rivières. Et les "montagnes" toutes proches (et j'ai déjà un paquet de projets de balades à faire, suis excité comme à chaque fois que je m'installe dans un nouveau paysage.)
Après-midi découverte aux Rochers de Margerides depuis la chapelle Saint-Roch, et retour par la vallée de la Durolle.
C'est assez génial : deux minutes en voiture (on aurait pu le faire à pied, mais pour Miss Iris de la Loupette, 1 heure et demie de promenade, c'est largement suffisant désormais, surtout que ça grimpe pas mal) et au bout d'un quart d'heure de marche on surplombe la ville et ses vallées encaissées depuis des rochers escarpés.
Puis c'est un petit sentier à flanc de "montagne" au milieu des bois, et la descente vers la Durolle et la vallée parsemée de ruines industrielles, souvenir d'un temps où la ville était un bassin ouvrier important.
Toutes les photos ici :
https://www.outsiderland.com/photography/index.php?/category/15
Du coup, j'ai complètement zappé tous les sujets que je souhaitais aborder sur mon blog et ici
C'est rarissime chez moi. Mais faut que j'explore ce territoire. Je peux pas résister.
Au réveil ce matin : de nouvelles perspectives.
(va falloir un peu de temps pour se faire l’espace et au temps quand même – adapter son schéma corporel aux particularités des lieux (je n’ai pas d’escaliers et vis au rez-de-chaussée!), à la solitude – « relative » solitude : Iris de la Loupette a passé la nuit sur les couvertures, blottie contre moi)
Hier, on a déjà pris nos marques en ville avec Mamzelle Iris. Le dédale des ruelles médiévales. La Miss s’est déjà faite pas mal de copains et copines quadrupèdes et, forcément, j’ai socialisé aussi avec les zhumain‧es qui les accompagnaient.
Je salue facilement. Dis “bonjour” quand on croise quelqu’un. C’est parce que j’ai vécu un quart de siècle en village, où tout le monde se salue – et si on ne le fait pas, c’est qu’on se fait la gueule.
Thiers est une petite ville (une agglomération de 14 000 âmes), et la ville haute ressemble à un gros bourg densément peuplé, où chaque habitant tente de survivre dans ces rues et ruelles pentues et tordues. Il est frappant de constater l’absence totale de bicyclettes et de trottinettes, comme dans la plupart des autres villes : la topographie est tellement escarpée qu’on a d’autres choix que d’aller à pied, ou en automobile.
Ambiance populaire. Pas mal de gens dehors hier soir (c’était un samedi). Les restaurants “bourgeois” traditionnels sont déserts (ils attendent l’arrivée des touristes), mais là où l’on peut manger sur le pouce et pour pas cher, les clients défilent – un restaurant africain vient d’ouvrir. Je discute avec une des employées, toute heureuse de voir que la petite salle est déjà pleine alors qu’ils n’ont même pas terminé d’aménager la vitrine.
Allez ! Au pifomètre, je peux déjà avancer quelques considérations sociologiques de comptoir (mais surtout parce que je connais pas mal de gens ici, et il suffit d’observer et taper la causette) : nous avons donc de la bourgeoisie (les propriétaires), discrète, comme partout. Les classes moyennes “populaires” – il y a évidemment un électorat d’extrême droite, qui se renforce à chaque élection. La ville demeure pourtant un vieux bastion ouvrier de gauche, anciennes terres du PCF. Lors de ma première sortie, je passe devant un type (un « retraité blanc ») qui déclare à voix haute à quelques personnes assises sur des escaliers « qu’il ne les aime pas », « les arabes », tout en désignant une vague direction du doigt (tout autour de lui, en fait). Une dame qui promène son petit chien, me fait remarquer : c’est un peu le bled ici, et elle ajoute, avant d’entrer dans un petit café, chez Geneviève, bien “mélangé”, mais « ça ne me gêne pas ». Et c’est vrai qu’on croise des tas de gens “colorés” – ah, ce jeune black, qui montait la rue en bas de chez moi, dansant et chantant, et, comme je le saluais, m’a lancé un « Salam aleykoum » – « paix sur toi aussi », ai-je répondu. Mais le grand changement dans la ville ces dernières années, c’est l’arrivée d’une population assez jeune (tout étant relatif, je dirais, entre vingt-cinq et quarante ans), de “créatifs” – on connaît pas mal d’artistes, musiciens, plasticiens, etc. qui ont quitté les grandes villes pour s’installer ici – les loyers sont peu chers (à cause de la mauvaise réputation de la ville, traduisez : « à cause des “arabes”) – ce sont les mêmes qu’on retrouve dans tout le Forez et le Livradois – celles et ceux qui, néanmoins, ne goûtent pas forcément l’idée de « retaper une petite maison perdue dans la montagne et faire pousser des légumes », et préfèrent vivre tout de même en ville. De fait, Thiers bouillonne actuellement de créativité, des centres culturels se montent, officiels ou non-officiels, j’en reparlerai quand j’aurais trouvé le courage d’y mettre les pieds.
Bref.
Il y a de la vie.
Ça va me changer. Pas qu’il n’y ait pas de vie dans les villages que j’ai habités ces dernières décennies – mais c’était une vie plutôt animale et végétale. Avec peu d’humain‧e‧s.
On verra si je m’y fais (mais : les montagnes, les rivières et les forêts sont à cinq minutes, pas de souci là dessus !)
Maison dite Maison des Consuls à #Thiers (#PuyDeDôme)
Suite https://monumentum.fr/monument-historique/pa00092435/thiers-maison-dite-maison-des-consuls
#Patrimoine #MonumentHistorique
Photo CC-BY-SA 4.0 : Sylenius
Monument aux morts à #Thiers (#PuyDeDôme)
Suite https://monumentum.fr/monument-historique/pa63000130/thiers-monument-aux-morts
#Patrimoine #MonumentHistorique
Photo CC-BY-SA 4.0 : Lethiernois
Château de Franc-Séjour à #Thiers (#PuyDeDôme)
Suite https://monumentum.fr/monument-historique/pa00092444/thiers-chateau-de-franc-sejour
#Patrimoine #MonumentHistorique
Photo CC-BY-SA 4.0 : Rilba